mardi 18 octobre 2011

Le #mardidefi

Hé bien !!!

Presqu'une semaine que je n'étais pas revenu m'épancher sur le blog.

La faute à ce TWITTER que j'ai découvert il y a quelques jours. En fait, dans mon autre vie, celle du gars bien sous tout rapport, je connaissais déjà ce réseau social. Mais depuis que mon "moi coquin" a rencontré l'autre face de Twitter, celle réunissant des gens pas très sages, j'ai beaucoup de mal à m'en décoller je l'avoue.

Je vous conseille notamment une petite recherche sur le #mardidefi , évènement qui commence à connaître un certain succès, sous la houlette de @Lilou-libertine.

Vivement mardi prochain !!

mercredi 12 octobre 2011

Etre libre ou se sentir libre...

Il m'arrive souvent de me perdre dans des réflexions, tantôt érotiques, tantôt philosophiques. Profiter de la vie, ce n'est pas que le plaisir physique, mais aussi le plaisir mental, spirituel. Se poser des questions, chercher, trouver, et se perdre de nouveau dans l'inconnu pour se re-poser de nouvelles questions...

Dernièrement je me suis laissé glissé dans une réflexion sur la notion de liberté. Etre libre : Voilà un mot qu'on emploie quotidiennement, souvent à tord et à travers. Aujourd'hui, tout le monde souhaite être libre, faire ce qu'il veut, parfois même au mépris des règles et d'autrui.

Mais qu'est ce qu'être libre ? Est-ce de pouvoir faire ce que l'on veut, exécuter les moindres de ses désirs, outrepasser les limites, les règles fixées par notre société ? Mais dans ce cas, ne serait-on pas plutôt prisonnier de ses désirs ?

Là où beaucoup pensent qu'être libre c'est de pouvoir ce que l'on veut, moi je crois qu'être libre c'est tout simplement de ne pas avoir à faire ce que l'on n'a pas envie de faire.

lundi 10 octobre 2011

Calin du matin... ou l'effet papillon

Il n'y a pas à dire... rien ne vaut la spontanéité et l'imprévu !

J'ai apprécié ce petit calin du matin, lorsqu'après m'être lavé, préparé, habillé, je me suis penché sur elle pour lui délivrer mon bisous du matin. Elle était emmitouflée sous la couette en position foetale, et lorsque je me suis allongé contre elle j'ai senti une légère contraction de ses fesses contre mon sexe.

Ce simple mouvement, presqu'anodin mais très subtil de sa part, a déclenché en moi une légère excitation. J'ai à mon tour contracté mes fesses et mon bassin pour coller mon sexe contre son postérieur, et malgré l'épaisseur de tissus qui nous séparait, je sentais mon muscle se caler confortablement dans la fente de son fessier.
L'embrassant dans la nuque et dans le cou, comme elle aime, nos mouvements se sont faits plus coquins, nos respirations moins régulières.
Comme pour me signifier que j'étais un peu lent à comprendre où elle voulait en venir, elle prit ma main pour la placer sous la couette, entre ses cuisses et me guida tranquillement. Elle déboutonna délicatement mon pantalon, baissa mon boxer, et prit à son tour mon sexe pour le caresser verticalement.

Sans un mot, elle rentra mon sexe dans le sien, et commença de doux mouvements de va-et-vient. Le matin distillait à peine quelques lueurs, et seules nos respirations venaient perturber le silence de cet instant... et ton réveil qui sonna alors même que nos gémissements se faisaient entendre....

mardi 4 octobre 2011

Mélancolie d'octobre

Aujourd'hui, j'ai pris conscience qu'il en était fini de l'été...

Terminés donc ces pauses-déjeuners, allongés sur l'herbe entrain de bronzer,
Terminés ces robes légères, dévoilant des jambes halées au moindre coup de vent,
Terminés ces chaleurs en observant les jambes croisées à la terrasse d'un café,
Terminés ces démarches félines, des flâneuses qui prennent leur temps
Terminés ces vertiges en croisant ces débardeurs outranciers,
Terminés ces sourires insouciants sur des visages rayonnants,

...

Place au mois d'octobre...

lundi 3 octobre 2011

J'la croise tous les matins.... (ou presque)

Et ce matin, ce fut le cas, comme souvent le lundi.

Même heure, même gare de train, même quai, même porte...


Toujours ce petit coup d'oeil discret, qui doit me trahir, lorsque nos regards se croisent. Un sourire bien crispé tente de se dessiner sur mon visage, mais je suis tellement troublé face à elle... La présence de sa mère, et de ses collègues n'aident pas non plus à détendre cette athmosphère.

Et tout au long du trajet qui nous mène à la Gare St Lazare, ce ne sont que des échanges de regards furtifs. J'en profite à chaque fois pour la détailler sans m'attarder. Les cheveux chatains, longs, mêchés et lissés, le teint légèrement halé font ressortir deux petites billes d'un noir très intense. Je l'imagine discrète mais souriante, timide mais épanouïe.

Son maquillage discret et son fond de teint lui font la peau si douce qu'on aimerait y déposer ses lèvres. Sa petite taille, et sa corpulence fine achèvent de lui donner l'air d'une poupée, une véritable femme-enfant fraîche et fragile.


Mais le plus troublant, c'est qu'il m'est parfaitement impossible de soutenir son regard, ni de lui dégainer un sourire complice...